L’équipe-projet Datamove, commune entre Inria, l’Université Grenoble Alpes et le CNRS, mène des recherches sur l’optimisation des mouvements de données pour le calcul intensif.

Dans le cadre du partenariat stratégique entre Inria et l’éditeur de logiciels Berger-Levrault, l’équipe Datamove et l’Institut MIAI Grenoble Alpes, coencadrent une thèse Cifre pour booster l’innovation de l’industriel français.

Frédéric Desprez, directeur du Centre Inria de l’Université Grenoble Alpes, et Denis Trystram, enseignant-chercheur Grenoble INP, nous expliquent comment ils accompagnent Hamza Safri, doctorant, dans ses travaux de recherche sur “l’apprentissage fédéré pour la maintenance prédictive”, à la croisée des problématiques scientifiques et industriels.

Le centre Inria de l’Université de Lorraine, moteur du développement scientifique local au côté de l’Université de Lorraine, a développé des liens particulièrement forts avec le Loria, Laboratoire lorrain de Recherche en Informatique et ses Applications (UMR 7503 dont les tutelles sont le CNRS, Inria et l’Université de Lorraine).

Inria et le Loria étant situés dans les mêmes locaux, de nombreuses actions sont menées de concert.

Marie Baron et Justine Galet, toutes deux responsables des services communication du laboratoire et du centre de recherche, reviennent sur l’intégration des nouveaux collaborateurs de l’ensemble des équipes-projets communes entre Inria et ses partenaires (Loria, IECL, ICube…).

Le Service d’expérimentation et de développement (SED) du Centre Inria d’Université Côte d’Azur soutient et conseille les équipes de recherche du centre. Il a pour objectif d’améliorer la production de logiciels, les publications et productions scientifiques.

L’Institut NeuroMod d’Université Côte d’Azur, en collaboration avec Inria, le CNRS et l’Inserm, promeut la modélisation comme approche d’intégration des mécanismes cérébraux et des fonctions cognitives.

Inria et NeuroMod ont conjugué leurs ressources (humaines et financières) au bénéfice de la communauté scientifique locale, en recrutant une ingénieure hébergée au sein du SED et dédiée aux projets NeuroMod.

Thibault Kloczko, responsable du SED, et Alexandre Muzy, directeur de NeuroMod, reviennent sur les spécificités de ce recrutement gagnant-gagnant pour les 2 institutions.

Terra Numerica est un projet d’envergure et fédérateur, porté par le CNRS, Inria et Université Côte d’Azur, regroupant l’Éducation nationale et un ensemble de partenaires des sciences du numérique (laboratoires de recherche, associations et projets de médiation scientifique). L’ambition est de créer un dispositif original, attractif et unique de diffusion et de partage entre les acteurs du numérique. Ce dispositif comprend différents espaces partenaires à travers tout le territoire azuréen.

Découvrez dans cette vidéo comment Dorian Mazauric, Marie Pelleau et Frédéric Havet, respectivement chercheur Inria, enseignante-chercheuse Université Côté d’Azur et chercheur CNRS, entendent déployer le dispositif Terra Numerica, jusqu’à la création d’un palais de la découverte du numérique, à horizon 2025.

L’équipe-projet RobotLearn, commune entre Inria, l’Université Grenoble Alpes et le laboratoire Jean Kuntzmann du CNRS, développe des méthodes d’apprentissage pour les robots socialement intelligents.

MIAI est un des quatre instituts interdisciplinaires en intelligence artificielle (3IA) créés par le gouvernement français en 2019 dans le cadre du Plan national en intelligence artificielle. MIAI est un institut qui rassemble 200 chercheurs permanents des différents partenaires académiques (Inria, Inserm, CEA, CNRS, Université Grenoble Alpes) et 90 collaborateurs des partenaires industriels.

Le centre Inria de l’Université Grenoble Alpes et l’Université Grenoble Alpes entretiennent depuis de nombreuses années des collaborations à travers une stratégie et des actions communes. Cette relation dense et ancienne s’est trouvée renforcée grâce à leur implication commune, comme ici dans l’institut MIAI@Grenoble Alpes par exemple. Xavier Alameda-Pineda, chercheur Inria et porteur d’une chaire MIAI, et Eric Gaussier, enseignant-chercheur Université Grenoble Alpes et directeur de MIAI, reviennent dans cette interview sur leur animation commune de la communauté scientifique de cet institut 3IA.

Les enjeux de l’informatique quantique, prioritaires pour Inria, ont motivé la création récente de l’équipe-projet QuaCS. Cette équipe, commune entre Inria, l’Université Paris-Saclay, CentraleSupélec, le CNRS et l’ENS Paris-Saclay, étudie les structures de programmation propres à l’informatique quantique et les langages qui vont permettre d’exprimer et d’optimiser le calcul quantique.

Pablo Arrighi, enseignant-chercheur Université Paris-Saclay et responsable de l’équipe, et Benoît Valiron, enseignant-chercheur CentraleSupélec, reviennent sur les moyens déployés par Inria et l’Université, pour développer le domaine de l’informatique quantique en France.

L’équipe-projet VirtUs, commune entre Inria, l’Université de Rennes 1 et l’Université de Rennes 2, crée et simule des scènes virtuelles peuplées immersives, où coexistent des humains virtuels et réels, avec un niveau de réalisme suffisant pour que l’expérience vécue virtuellement et ses résultats puissent être transposés à la réalité.

Marc Christie et Ludovic Hoyet nous expliquent comment leurs compétences s’accordent pour créer des environnements virtuels aussi réalistes que possible.

PlaFRIM est une plate-forme de recherche et développement portée par les laboratoires de mathématiques et informatique ainsi que le Centre Inria de l’université de Bordeaux, et ouverte à tous les scientifiques de ces entités, comme par exemple Carmen. Carmen est une équipe-projet commune entre Inria et l’université de Bordeaux, qui travaille sur la simulation de la propagation de l’électricité dans le cœur.

Concrètement, l’équipe Carmen, qui doit résoudre beaucoup d’équations complexes, a besoin de supercalculateurs et fait appel régulièrement à PlaFRIM, qui met à disposition les ressources nécessaires (serveurs et ingénieurs) pour résoudre ces équations.

L’équipe-projet AIstroSight, commune entre Inria, l’Université Claude Bernard Lyon 1, les Hospices Civils de Lyon et Theranexus, a pour objectif de développer des méthodes numériques innovantes pour la neuropharmacologie, la recherche de nouveaux candidats médicaments destinés à traiter les maladies du cerveau.

L’équipe étant créée depuis peu, Luc Zimmer et Hugues Berry, en tant que chefs d’orchestre, devront accorder les différentes communautés de chercheurs et praticiens pour relever les défis de la santé numérique ensemble.

L’équipe-projet Maracas, commune entre Inria et l’INSA Lyon, associe à la théorie des communications et à la théorie de l’information, des approches de traitement du signal, de théorie du contrôle ou de la théorie des jeux pour explorer le domaine des Computing Networks.

Maracas utilise CorteXlab, une structure destinée aux tests et à l’expérimentation de communications sans fil de dernière génération. Cet équipement d’excellence est hébergé au Laboratoire CITI (Centre d’innovations en télécommunications et intégration de services), associé à l’INSA Lyon et à Inria.

Leonardo Cardoso et Malcolm Egan nous expliquent en quoi cet équipement d’excellence leur permet d’harmoniser recherche et enseignement.